10 bonnes pratiques que j’ai suivies pour lancer les Pépites Vertes – et qui j’ai imité pour chaque tips

Hello, moi c’est Claire l’éClair et j’adore partager ce que j’apprends. Découvrez ici comment j’ai créé les Pépites Vertes, le média qui donne la parole aux jeunes pro de la transition ! C’est un article long, alors si vous lisez tout vous gagnez… toute ma reconnaissance. Et si vous vous demandiez, oui, je fais 10 avec mes mains sur la photo. 

0 – Savoir pourquoi on le fait

Quoi ? L’envie de vous lancer vous démange, vous avez envie de créer un projet ou des contenus, vous voulez que ça marche… Ok. Alors commencez par vous demander pourquoi, puis pourquoi ça, et pourquoi vraiment !? Lorsque vous aurez posé l’intention de ce projet pour les bénéficiaires ET pour vous, alors vous aurez un phare pour vous guider et vous motiver dans les moments difficiles.

Inspi ? Le Golden Circle de Simon Sinek aide beaucoup pour bien comprendre : WHY / HOW / WHAT. Connaître son WHY permet de ne pas rester accroché au WHAT.

Comment ? Avant de me lancer, j’avais beaucoup écrit sur mes motivations (me sentir responsable d’un projet, tester des choses, me sentir utile aux jeunes, m’entrainer sur un projet sans enjeu financier…) ce qui me permet d’être bien alignée. Une fois les contenus diffusés, j’ai pris soin de copier-coller tous les mots doux que j’ai reçus dans une petite note que je relis quand je suis fatiguée. Parmi mes préférés : Merci Claire, vous êtes inspirante comme l’éclair, continuez votre mission humaniste. La communication ne fait pas assez bouger les lignes, elle reste une écume à la surface. <3 Voilà POURQUOI je le fais.

1 – Créer du contenu qui répond à un besoin avec une ligne éditoriale unique et claire (sans mauvais jeu de mot)

Quoi ? En 2020, pour émerger parmi tout le contenu existant, il est indispensable de travailler un édito (c’est à dire un angle) différenciant, presque niche. Une fois le sujet identifié (ici : trouver son premier job pour la planète), s’assurer de bien apporter de la valeur pour répondre aux enjeux & à la problématique. C’est selon moi nécessaire de travailler un doux mix entre inspirer, illustrer & outiller avec des conseils activables.

Inspi ? Les gens qui m’inspirent sur ça sont les créateurs de contenu « développement personnel » comme David Laroche et Clotilde Dussoulier, ou les médias engagés sur les sujets d’épanouissement au travail comme Les Echos Start ou la Rédaction LinkedIn Actualités.

Comment ? Ma stratégie pour ça a été

  • de faire une veille sur les sujets déjà couverts médiatiquement (beaucoup de choses sur la « réorientation » mais peu sur l’orientation !)
  • de me demander sur quoi je me sentais à l’aise de parler, et enfin de tester ma légitimité en commençant par publier un article de fond sur la thématique : 21 questions à se poser pour identifier un job qui correspond à ses valeurs. L’article a cartonné (7K lectures sur mon Medium, repris par les Echos Start & la Rédaction Linkedin)
  • de continuer en donnant la parole à des jeunes qui se sont trouvés pour illustrer mes propos. A chaque entretien, on utilise le parcours de la Pépite pour extraire des conseils concrets. Ma question préférée, c’est de demander à chaque jeune le conseil qu’il se serait donné à 18 ans, car c’est un conseil universel finalement !

Limites ? La ligne éditoriale permet de savoir très clairement ce dont on peut parler ou pas (ex : pour le moment, on ne parle pas de jeunes qui se sont réorientés ou en apprentissage). C’est enfermant, d’une certaine manière, alors il faut savoir faire preuve d’agilité pour mettre en lumière des parcours qui sortent un peu du cadre mais ont une grande valeur d’inspiration en tant que rôle model.

2 – Connaître sa cible & lui parler au bon moment, au bon endroit

Quoi ? Une fois qu’on a son sujet, il faut se demander où le diffuser, et pour aider qui ! Pour ça, il faut se demander où est sa cible pour ne pas gaspiller son énergie !! Il faut aussi bien la connaître : quelles sont ses habitudes ? Comment s’informe-t-elle ? Que fait-elle le soir après sa journée ?

Inspi ? Ce sont mes cours & mes expériences de communicante qui m’ont soufflé la méthodologie pour ça.

Comment ? Nous voulons aider des jeunes lycéens et étudiants à s’orienter vers des métiers pour la transition écologique donc :

  • le format podcast audio ne correspondait pas à l’intention initiale car les 15-23 consomment des vidéos & contenus courts sur YouTube et Instagram : c’est là qu’on doit être ! Pour autant, on se rend compte que des étudiants de fin de cycle suivent nos contenus et ont l’usage des podcasts audio, donc on va lancer Spotify & co. 
  • c’est sur LinkedIn & Twitter que les sujets #PremierJob se traitent
  • dans une recherche d’efficience, on n’ira donc pas sur Facebook… c’est trop tard pour émerger sur ce réseau en décroissance, désinvesti par les jeunes (RIP)

Limites ? Il a aussi fallu composer avec ma communauté qui me soutient et m’a aidé à lancer le projet, donc tout n’est pas si simple car je touche surtout mon cercle proche +1/2/3 pour le moment. Je vais devoir trouver des stratégies pour atteindre les 17/20 ans. On est d’accord… TikTok, c’est la prochaine étape !  Pour autant, même si les tendances sont aux contenus courts, et bien on a décidé de faire du fond et des vidéos longues… complémentaires avec des petits extraits sur les réseaux sociaux.

On n’est pas obligés de se plier aux usages, on peut en créer de nouveaux !

3 – Authenticité, spontanéité, humour, humain

Quoi ? En créant les Pépites Vertes, j’ai eu envie de créer un média frais, drôle, presque « normal », avec une mission de pédagogie et d’inspiration. Parce que je n’arrive pas à me projeter dans les parcours & les carrières de Steve Jobs ou de Christine Lagarde, j’ai voulu mettre en lumière des jeunes qui pourraient être votre sœur, votre voisin, votre meilleur.e ami.e… des personnes ordinaires mais inspirantes par leur audace et leur maturité. Toutes les études de tendances digitales le confirment, il est très important d’humaniser le projet.

Inspi ? Il y en a beaucoup… mais mes plus grandes inspirations pour l’authenticité sont les humoristes, standupers & youtubers qui racontent le quotidien avec humour comme Laura Domange et Laura Felpin, et évidemment la plus drôle de toutes… Florence Foresti. Franck Annese aussi, et tous les médias du groupe SoPress en général me font rêver. Leur motto ? Histoire, Humour, Humain.

Comment ? Aussi pralinette que ça puisse sembler, j’ai décidé de rester moi-même, c’est-à-dire hilarante. Non, blague dans le coin, c’est-à-dire simple voire maladroite, fan des malaises et des gens, tout simplement. J’ai veillé à faire des entretiens intimes, accessibles et sans question piège, sans non plus éviter les sujets tabous ou les sujets de fonds, comme celui de l’argent $$$$. J’ai enfin pris soin de raconter les coulisses, les tips, les infos sur mes réseaux ou sur ceux des pépites.

Limites ? Dire des gros mots en interview. Vraiment ça je crois que c’est le seul truc que je vais apprendre à lisser. Ah oui aussi, l‘humour, ça marche quand on est drôle… jdcjdr, mais ne prenons pas TOUS ce conseil à la lettre  #malaise

4 – Dessiner une image de marque et soigner le rendu

Quoi ? Il est important de passer un moment sur le rendu global et de créer une cohérence graphique et esthétique autour des valeurs de la marque. Le nom, les typos, les couleurs, les aperçus, le site… Tout ça COMPTE. Les Pépites Vertes, du vert, du rose : ça pétille, ça donne envie d’en être, d’en savoir plus, non ?

Inspi ? On m’a parfois dit « ne t’attarde pas sur des détails », « lance-toi et ne perds pas de temps sur le nom »… Je pense que c’est faux. Les marques fortes sont celles qui ont un imaginaire positif, engageant, désirable, beau. Dans nos projets à impact, inspirons-nous de l’ambition marketing des géants de la mode, des grands groupes médias, des films hollywoodiens. Comme dirait mon ami Owen dans son interview de Pépite à venir « soyons aussi ambitieux que le luxe ».

Comment ?

  • Pour la partie « rendu », j’ai été sur Behance pour trouver des inspirations graphiques et m’inscrire dans les tendances des gens à qui je voulais parler. J’ai aussi regardé ce qui me plaisait sur instagram, linkedin, youtube…
  • J’en ai fait un « moodboard » : une planche d’humeur avec plein d’images, mais aussi des mots clefs qui représentent nos valeurs. Elle m’a aidée à définir ce que je voulais que les Pépites reflètent – ou pas.
  • Pour trouver le nom, j’ai écrit tous les mots que m’inspiraient le projet, tout ce que je voulais que ça dise. Et j’ai déconnecté un dimanche, gratté gratté sur mon carnet, et pof ! le nom.
  • Enfin j’ai choisi 3 typographies (trouvées sur Google Fonts), 3 couleurs, une charte générale, et ça a permis à notre responsable communication de s’emparer des créations visuelles à partir d’un imaginaire acté.

Limites ?

  • on peut parfois passer trop de temps sur des détails et donner de l’importance à des choses que les autres ne perçoivent pas. Pour ça il faut demander l’avis de personnes extérieures et penser à aller à l’essentiel quand les choses trainent !
  • le beau, c’est très objectif, mais c’est aussi très exclusif. Il faut rester ouvert aux avis divergents. C’est ce qui fera grandir l’image du projet.

5 – Parler avec sa communauté (et la définir)

Quoi ? Même si ça semble évident, il est très important de chouchouter sa communauté qui seront les meilleurs ambassadeurs du projet par la suite. La communauté peut être présente aussi bien sur les réseaux que dans les demandes par mail.

Inspi ? J’adore le boulot fait par Ticket for Change sur ça. J’avais écouté Adèle Galey dans une intervention qui disait que c’était à la fois important de l’engager, mais aussi de définir les critères de sa communauté, c’est ce qui fait sa valeur !

Comment ? Pour nous ça signifie répondre aux commentaires, aux messages, mettre en lien… Demander à nos pépites comment on peut leur être utiles. Mais au-delà de tout ça, c’est aussi inviter nos Pépites Vertes à partager leurs vidéos & articles. C’est juste FOU de voir que leurs partages d’articles Pépites Vertes sur LinkedIn font 50, 100, 400 likes (coucou Marianne) ! 

Limites ? C’est très chronophage, mais c’est très important !

6 – Incarner… puis dépersonnifier la marque

Quoi ? Je suis en veille depuis plusieurs années sur la communication. Évidemment, j’ai remarqué que les porteurs/euses de projet qui savaient raconter l’histoire de leur aventure à la première personne pouvaient donner énormément de visibilité à leur marque. En incarnant les valeurs de leur projet, ils le crédibilisent et développent une légitimité de porte-parole sur leurs thématiques. Pour autant, ils savent s’effacer avec justesse au profit de leurs équipes, leurs communautés, leurs partenaires, leur projet en général quand il le faut, soit via les réseaux officiels de leur projet, soit quand ils en parlent.

Inspi ? J’ai beaucoup d’admiration pour les succès entrepreneuriaux de leaders charismatiques de l’impact comme Joséphine Goube de Techfugees, Abdelaali El Badaoui de Banlieues Santé, Louise Aubery de Je Ne Sais Quoi, Thomas Huriez de 1083… Pour la partie « média / influenceur », j’adore le travail de « désincarnation » qu’a fait Hugo Décrypte autour de son média qui existe très bien sans son visage sur Instagram.

Comment ?

  • J’ai commencé par utiliser mes réseaux persos pour lancer le projet, car j’avais déjà des communautés très engagées sur LinkedIn, Twitter, Facebook et un peu Instagram.
  • J’ai envoyé beaucoup (beaucoup) de mails à des journalistes en racontant mon histoire, mais c’est ma présence sur twitter qui m’a amenée le plus de relations presse.
  • Quand les vidéos ont commencé à prendre, j’ai enfin lancé les réseaux sociaux des Pépites Vertes (Instagram & LinkedIn) ainsi que le site internet. J’ai ensuite agrandi l’équipe bénévole des Pépites et trouvé d’autres personnes pour gérer les réseaux afin de ne pas y parler en mon nom. On a très vite commencé à concentrer plus d’énergie sur les comptes officiels et moins sur les miens, et on est arrivé à 1500+ followers et des reachs cumulés de 40K vues en 2 mois sur toutes les plateformes les Pépites Vertes.
  • Maintenant, les gens ont dissocié Claire l’éClair & le média, ce qui est très important.

Limites ? Parfois le porteur de projet ne se sent pas d’incarner ou de personnifier, il peut y avoir plein de raisons à ça. Deux options : se faire un peu violence (bof) OU trouver un porte parole à l’aise avec cette mission.

7 – Confronter… pour co-construire

Quoi ? Le meilleur conseil qu’on puisse vous donner si vous avez un projet en tête c’est : PARLEZ-EN. Une fois que j’ai eu l’idée, j’ai pris 2 mois pour mûrir le projet cet été, et j’ai très vite commencé à en parler fin août / septembre, pour vérifier mes intuitions.

Inspi ?

  • Les sports collectifs & toutes mes années à traîner sur les terrains de hand pour élaborer les meilleurs tactiques en équipe
  • Mon master innovation & toute l’approche design pour la gestion de projet
  • Les 5 Startup Weekends auxquels j’ai participé
  • Mon expérience en tant qu’ambassadrice The Wonders qui est vraiment un lieu d’incubation & de co-construction des idées, pour en faire des projets cohérents à tous les niveaux.

Comment ? Pour Les Pépites Vertes, ça s’est vraiment formalisé au moment de l’Appel à Pépites. Le truc était assez clair dans ma tête, mais pas du tout intelligible. En une semaine, les bénévoles qui ont répondu présent à mon appel à l’aide m’ont aidée à clarifier l’intention, organiser le formulaire et aller à l’essentiel. Ce sont les bénévoles qui m’ont permis d’identifier le critère clef des jeunes qu’on met en lumière : le côté « premier job » que je n’avais pas formalisé et qui nous a aidé à prendre des décisions éditoriales.

Limites ? Parfois, il faut trancher entre l’avis des autres qui ne correspond pas à mon intuition et la petite voix qui me dit que j’ai raison. C’est une gymnastique permanente entre un leadership décidé et des phases d’écoute qui n’est pas facile tous les jours, surtout quand les gens te donnent du temps bénévole et que tu veux faire le bien. Peace.

8 – Et du coup… s’entourer (sans budget & sans abus)

Quoi ? Pour moi, vous l’aurez compris, chaque projet réussi est un projet collectif. Ce sont les gens, les soutiens, les partenaires, les ambassadeurs, les premiers utilisateurs qui font la réussite d’un concept.

Inspi ? J’ai passé 3/4 ans à graviter autour de l’Association Sportive de Sciences Po, et je garde toujours une petite dispo pour les copains qui me demandent de l’aide, surtout sur la communication. C’est donc clairement mes expériences ainsi que ma famille qui m’ont appris à demander de l’aide, et à en donner.

Comment ? Je me suis entourée à deux niveaux :

  1. Avec les partenaires « en nature » qui m’ont aidée sur la partie technique. A ce niveau, j’ai raconté mon histoire et mon ambition avec beaucoup de culot (disons-le) à des gens que j’avais déjà croisés et je trouvais professionnellement géniaux (Studio Majorelle, Les Impacteurs & Matrice). Ils ont tous les 3 accepté de m’aider contre de la visibilité alors que le média était à peine établi – voire carrément pas lancé .
  2. Pour les ressources bénévoles pour faire vivre le projet, je me suis entourée de pairs avec qui je sais comment travailler : des étudiant.e.s ou ex-étudiant.e.s de Sciences Po Paris, Aix, Saint Germain… C’était une solution de facilité car nous avons les mêmes méthodes de travail, et donc un gros gain de temps.

Limites ?

  • S’entourer de gens qui nous ressemblent trop peut être un biais cognitif énorme, surtout quand on crée un média et qu’on a envie qu’il reflète la diversité des parcours. On en était très conscients dès le départ, aussi j’ai veillé à intégrer des Pépites motivées avec un parcours différent ce qui donne beaucoup d’air (ah coucou Théophile & Marion).
  • J’ai beau avoir été moi-même bénévole depuis 10 ans, je suis très mal à l’aise avec le concept de bénévolat / partenariat visibilité puisque je promeus les JOBS de la transition… Je fais donc très attention à ne pas en demander trop aux gens qui me font confiance car je ne veux pas être ce que je dénonce (une escroc?).

9 – Processiser, prioriser, renoncer et s’améliorer en permanence avec l’équipe

Quoi ? Spontanéité, oui, mais organisée ! Un juste équilibre est à trouver entre le côté « YOUHOU » du lancement qui sera forcément non contrôlé à 100% et la rigueur d’un projet qui veut s’inscrire dans le moyen terme. Quand on est tout seul, on peut avancer à son rythme, mais dès qu’une équipe intervient, le/la responsable doit assumer la lisibilité de son projet et outiller toutes les personnes qui viennent l’aider. Afin de ne pas nous éparpiller (et nous essouffler), nous avons décidé de mesurer l’énergie que nous mettions sur les projets les plus impactant.

Inspi ? J’ai toujours été très organisée (ok disons le, psychorigide) et ce sont mes expériences professionnelles en startups qui m’ont aidée à me structurer à ce niveau-là : mon passage à la Ruche qui dit Oui, à Cocycler, l’organisation du Voxe Tour et mon apprentissage permanent au sein de ChangeNOW depuis 2 ans, notamment dans l’équipe com. Je lis & me renseigne énormément sur le LEAN et sur l’innovation frugale : objectif 0 gaspi !

Comment ? En étant rigoureux sur :

  • le choix des outils pour les utilisateurs en fonction de leurs usages (bénévoles, pépites en devenir, pépites…)
  • la mise à disposition et l’accessibilité des informations & des modèles
  • la priorisation des tâches et l’aptitude à trancher
  • la responsabilisation des personnes engagées
  • la suppression de ce qui est de trop (une étape d’un process, une option sur le site…)

Par exemple, l’outil Slack n’est pas du tout efficient pour notre petite équipe bénévole et serait vraiment un frein en terme d’expérience utilisateur par rapport à une conversation WhatsApp simple. Autre exemple : on prenait un temps fou à traiter les formulaires entrants de l’Appel à Pépites jusqu’à ce qu’à Aliénor, une bénévole, nous propose un Google Sheet organisé qui est en perpétuelle évolution en fonction des besoins de rédaction. Il faut être à l’écoute des besoins, et aussi être capable prendre des décisions rapides afin d’être en amélioration permanente.

Limites ? C’est le nerf de la guerre d’être organisé, mais alors quand en plus le projet est en parallèle du « vrai » boulot… il faut faire attention à ne pas se surmener.

10 – Assumer ses limites et tout mettre en œuvre pour faire de son mieux

Quoi ? Bon, la dernière bonne pratique c’est : FAIS DE TON MIEUX, merde (oups, pardon pour les gros mots). Personne n’est parfait, et c’est très bien comme ça. Communique avec transparence sur les biais, les erreurs, les difficultés… Ta vulnérabilité ne te rendra que plus authentique. Et surtout, ton projet est en amélioration permanente, donc rappelle-toi que rien n’est fini en soi.

Inspi ? De nombreuses marques qui communiquent avec transparence sur leur impact carbone et les points de friction sur leur chaîne de valeur.

Comment ? Aux Pépites, on reconnait qu’on a beaucoup de mal à trouver des profils aussi divers qu’on l’aimerait. Il est hors de question qu’on devienne « les Elites Vertes » (voire blanches…) car ce sujet doit être inclusif et on peut y contribuer en créant des roles models, mais aussi en se posant la question de l’accessibilité de l’engagement.

Limites ? Accepter ses biais avec humilité doit aller avec bienveillance envers soi-même. C’est pas la peine de se fouetter non plus, hein. Allez bisous. 

Si vous êtes arrivés jusque là, alors vous avez gagné ma RECONNAISSANCE ÉTERNELLE et peut-être aussi de nouvelles connaissances ? En tout cas, on lance officiellement le BLOG des Pépites Vertes avec ce premier papier. Alors lâchez vos comzzzz, et donnez-nous vos feedbacks !

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